Manoir du XIXème siècle pensé par Henri Jacquelin dans un parc arboré
Manoir du XIXème siècle pensé par Henri Jacquelin dans un parc arboré
Construite sur le site d’une ancienne abbaye Bénédictine, l’histoire de la propriété est belle et folle, cette surprenante bâtisse propose un voyage dans le temps où se croisent à travers les âges Guillaume Le Conquérant et un fantasque marchand d’alcool.
Maison de famille, restaurant ou lieu d’accueil événementiel, cette somptueuse propriété recèle de trésors cachés.
A la fin du XIXème siècle, une commande fut passée par ce dernier auprès de l’architecte normand Henri Jacquelin pour la refonte d’une ancienne grange du XVIIIème. S’inspirant de l’architecture normande traditionnelle, notamment des manoirs du pays d’Auge du XVème, Henri Jacquelin avec un souci presque archéologique rassemble des éléments parfois disparates de cette architecture jouant avec les volumes, les matériaux et les décors.
Pensée tel un rêve médiéval la singulière bâtisse propose un cadre enchanteur digne des preux chevaliers et nobles princesses du passé.
La propriété dispose de deux entrées.
La première, un imposant rempart duquel se détache une porte rouge vif, derrière laquelle au détour d’un massif se devine l’Orangeraie. En la contournant, la façade principale se dévoile et surprend. Belle, intemporelle, le pari audacieux de l’architecte Jacquelin est réussi. L’ancienne grange et la nouvelle aile et son imposante tour forment un ensemble harmonieux.
La seconde, se fait par une grille en fer forgée suivie d’un chemin serpentant à travers la nature laissant peu à peu se dessiner l’imposante façade de style néo-normand.
L’entrée par l’Orangeraie, débouche sur un vaste hall d’accueil baigné de lumière, desservant 2 salons.
Le premier en enfilade, est situé l’aile du XVIIIème et longé par un couloir de service et son office.
Le second, situé dans l’aile néo-normande au parquet en point de Hongrie est doté d’une belle cheminée surmontée d’un grand miroir trumeau et de larges ouvertures à croisillons offrant une magnifique vue sur le jardin et le parc.
Une porte dérobée donne sur un escalier en colimaçon en pierre sur la droite duquel se dévoile une salle ronde aux tons ocres. L’atmosphère est digne d’un château fort, la cheminée est surplombée d’une fresque représentant l’illustre Guillaume Le Conquérant, du plafond en briques vouté descend un imposant lustre en fer forgé.
L’escalier mène au second étage de la bâtisse où se trouve une suite, la chambre de la tour, l’épais mur est découpé par une large fenêtre laissant s’admirer le jardin à l’anglaise.
La grande salle de bain attenante débouche sur des combles.
Au premier étage se trouve l’historique salle de billard et son demi-étage.
Quelques marches supplémentaires mènent à l’espace nuit ou un long couloir dessert 4 grandes chambres dont deux disposant d’un coin eau et d’une avec salle de bain.
Une grande salle de bain à la baignoire semi encastrée, de nombreux placards et une pièce cachée pouvant se muée en dressing viennent parfaire cet étage.
Pensée en espace événementiel, le rez-de-chaussée dispose d’une cuisine, d’un office professionnel et de deux grandes salles de réception d’une capacité de plus de 100 personnes. Les espaces extérieurs proposent également de belles possibilités.
Le vaste sous-sol est équipé d’une chambre froide et d’une grande cave à vins.
La propriété pourrait également se transformer en un majestueux restaurant, les deux salons et le hall d’accueil permettant d’accueillir plus d’une centaine de couverts
Le parc parsemé d’arbres séculaires est ponctué d’éléments historiques datant de l’époque du légendaire Guillaume le Conquérant dont une motte féodale renfermant les vestiges de l’abbaye bénédictine.
Enfin, du rempart de l’entrée se détache une petite tour derrière laquelle se cache la maison du gardien. Une fois rénovée cette dernière deviendra un charmant cottage.
Entre Rouen et Dieppe à seulement une demi-heure de la très belle côte d’Albâtre cette propriété d’exception est idéalement située à proximité de grands axes autoroutiers desservant Rouen, Dieppe, Deauville, Lille, Paris et la Bretagne.
Chère à Gustave Flaubert et citée dans le roman Madame Bovary la bourgade voisine Saint-Maclou-de-Folleville dispose d’une gare reliant Dieppe et Rouen (Paris).
En résidence principale, en résidence secondaire, en chambres d’hôtes, en lieu événementiel ou en restaurant prestigieux, ce surprenant manoir attend que l’on poursuive l’écriture de son épique histoire.
Il est également possible de faire classer la bâtisse afin de bénéficier de nombreux avantages fiscaux.
Logement à consommation énergétique excessive : classe G
CLASSE ÉNERGIE : G / CLASSE CLIMAT : G
Montant moyen estimé des dépenses annuelles d’énergie pour un usage standard, établi à partir des prix de l’énergie de l’année 2021 : entre 16 440 euros et 22 242 euros.
Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr
Informations complémentaires
- 15 pièces
- 5 chambres
- 3 salles de bain
- 3 étages dans l'immeuble
- Surface du terrain : 20595 m2
- Stationnement : 20 places
- Taxe foncière : 2 578 €
Diagnostics de performance énergétique
- A
- B
- C
- D
- E
- F
- 400kWh/m².an111*kg CO2/m².anG
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- 111kg CO2/m².anG
Montant moyen estimé des dépenses annuelles d’énergie pour un usage standard, établi à partir des prix de l’énergie de l’année 2024 : entre 16440 € et 22248 €
Honoraires de l'agence
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Les honoraires sont TTC à la charge du vendeur
Médiateur
Médiation Franchise-Consommateurs
29 Boulevard de Courcelles 75008 Paris
Les informations sur les risques auxquels ce bien est exposé sont disponibles sur le site Géorisques : www.georisques.gouv.fr