Le chemin d’accès à la propriété se glisse entre les 2 solides bâtis de pierre de pays, qui la composent. Ils contemplent cote à cote, les monts d’Ardèche, perchés à 565 m d’altitude. Ils se situent à la périphérie d’un calme hameau, à seulement quelques minutes, des petits producteurs, des marchés locaux, et des commodités de Lamastre.

La maison principale, s’est attachée récemment à celle qui la côtoyait, elle a su ainsi, prendre son indépendance et agrandir ses volumes, en réorganisant l’espace de 132 m². Puis elle a rénové, le foyer voisin, qui seul, tourne encore le dos à 1 mitoyenneté. C’est désormais 1 gîte de 48 m², composé de 2 chambres qui complète une propriété, sans vis à vis.

Cette maison de campagne se flatte désormais de proposer de 242 m² de surface au sol, sur un terrain de 1 367 m², et d’ouvrir sur l’extérieur, 2 caves, 1 atelier et 1 abri bois. Son jardin, initialement prévu pour 1 piscine et 1 SPA, s’est finalement consacré à la permaculture.
3 terrasses, bien exposées, tantôt à l’abri ou flottant sur la nature en balcon, s’offrent aux séjours, et s’exposent à une vue dégagée. À l’intérieur, la cheminée conserve une touche d’authenticité, alors qu’elle se frotte à des volumes plus contemporains et atypiques. La maison goûte au confort des espaces ouverts et du chauffage central, y compris par le sol. L’habitat livrera 1 vaste cuisine et sa salle à manger, proche du salon au coin du feu, puis sur un demi-étage, 1 espace bibliothèque, 1 chambre et des toilettes. En mezzanine et sous les combles, 1 chambre de 26 m², à côté, la salle de bains et des WC, puis 2 pièces mansardées, procurent des couchages supplémentaires.

C’est à 2 h 00 de Lyon, en campagne, sans la nuisance des routes et sur une vue panoramique, que se niche sereine, cette discrète maison de hameau, qui peut accueillir famille, amis ou hôtes de passage.

Logement passant de D à E, sans modifications, selon la nouvelle méthode de calcul, à une consommation estimée comprise entre 3 960 € et 5 430 €. Désormais considérée « passoire thermique ». La loi impose que le niveau de performance énergétique du bien immobilier, actuellement, soit compris, à compter du 1er janvier 2028, entre la classe A et la classe D.