Portrait de Valérie, propriétaire d’anciens bureaux bordelais revisités en loft
Vous pouvez retrouver, régulièrement sur notre blog, le portrait de nos différents clients. Nous prenons soin de choisir des histoires qui reflètent particulièrement la philosophie d’Espaces Atypiques : proposer des logements qui parlent aux visiteurs, pour qu’ils s’y projettent directement et qu’ils aient le loisir d’exprimer leur personnalité entre leurs murs.
Dans ce portait, retrouvez l’histoire de Valérie et son mari et de la découverte de leur loft, qu’ils ont longtemps habité et sont sur le point de revendre. Un bien pensé comme une véritable oasis de calme au cœur de la ville.
Valérie et son mari cherchaient un espace “cocon”, où passer du temps ensemble, et se reposer de leurs longues journées de travail. Elle, chirurgien orthopédique, lui pharmacien, ils suivent au jour le jour un rythme de vie soutenu, ponctué de séances de sport et de sorties. En choisissant cet espace au cœur de la ville dans le quartier des Chartrons à Bordeaux, avec vue sur la Garonne, se dessinait la possibilité d’accéder à tous les restaurants, boutiques de la ville, tout en restant à l’écart de son agitation.
Bonjour Valérie.
Bonjour.
Pouvez-vous nous dire ce qui vous a plu dans ce bien en particulier ?
Nous l’avons vécu comme un véritable coup de cœur. Nous avions beaucoup de critères en tête, et notre loft répondait à chacun d’entre eux.
D’abord la localisation. Nous avons d’abord été agréablement surpris : le bien était situé face aux quais, proche de la Garonne, à proximité du métro, dans un quartier de tram, deux moyens qui nous permettent d’être dans le centre-ville en quelques minutes.
Les Chartrons reste un quartier très animé, mais très historique et bucolique. Dans la rue Notre Dame, dans laquelle nous habitons, étaient établies d’anciennes boutiques d’antiquités et l’ensemble fait penser à un petit village, avec des jasmins qui poussent l’été. Pour moi qui adore les fleurs, c’était un environnement rêvé.
Autre point, le calme. Dans l’immeuble, les plateaux (le bien n’était pas du tout construit à la base, tout a été repensé grâce à un architecte avant de signer l’acte d’achat) étaient en deuxième ligne, donc à l’écart du bruit et de la foule. Il y a peu de voisins, nous sommes trois sur le palier, sans vis-à-vis, donc tout était au calme, très tranquille.
Qu’est-ce qui vous a fait vous décider ?
Si les parties communes ont été intégralement rénovées, il s’agit d’un ancien immeuble, avec donc tout le charme de l’ancien, des faïences, des carrelages, des beaux espaces… mais aussi de grands espaces, et de grands volumes, ce que l’on recherchait : mon mari fait 1,91 m. En cela les plateaux nous ont beaucoup plu. Il y avait des poutres apparentes, et nous avons tout de suite imaginé qu’il y avait un potentiel.
Une seule problématique restait au lieu : initialement, il n’était pas très lumineux. Il n’y avait que 10m2 de patio avec un puits de jour, et le reste était noir…. mais l’extérieur était grand, aussi nous avons imaginé avec l’architecte une vision verticale, avec un accès au ciel, et une terrasse sur le toit. Une fois le permis d’architecte en poche, suivant cet énorme coup de cœur, nous nous sommes lancés. Aujourd’hui il y a un véritable esprit dedans / dehors, et le loft, très atypique, est ouvert en grand sur l’extérieur.
Quelles sont vos pièces favorites ?
Sans hésitation, notre endroit favori est la cuisine. Elle n’est pas très grande, mais elle est très ouverte sur le salon, avec une banquette. C’est un endroit agréable où se reposer, avec une jolie vue sur le patio extérieur. On avait besoin d’ouverture, de convivialité. Après 4 ans à vivre à distance, on avait besoin de se retrouver et garder des espaces ouverts, où l’on puisse vivre ensemble et profiter l’un de l’autre après des journées de travail bien remplies.
Habitiez-vous à Bordeaux auparavant ? Si oui, dans quel type de bien ?
J’habitais à Toulouse, et mon mari à Bordeaux, donc nous avions des lieux de vie à part. Je l’ai rejoint et suis devenue bordelaise pour que nous vivions ensemble. A Toulouse, j’étais déjà propriétaire, j’habitais dans une résidence neuve dans le quartier Ponts-Jumeaux, pas loin de la Garonne vers le Canal du Midi.
J’aimais déjà personnaliser mon appartement et avait intégré un mur en pierre intérieur, donc j’avais déjà développé mon goût d’entreprendre des travaux pour celui-là.
Mon mari habitait le quartier de la Grosse Cloche, très vivant, avec beaucoup d’enseignes, mais qui était aussi très très bruyant. Son bien se situait dans un bâtiment ancien, sans ascenseur, et c’était assez mal isolé.
D’où notre recherche de calme dans l’actuel, qui est parfait. Nous sommes restés en ville, parce que nous avons un mode de vie très citadin, mais sans souffrir des inconvénients qui en découlent.
Étiez-vous déjà propriétaires auparavant ou étiez-vous locataires ?
Cela fait 8 ans que je suis propriétaire de mon côté. Quant à mon mari, l’appartement qu’il habitait auparavant appartenait à son père.
Connaissiez-vous Espaces Atypiques avant l’achat de votre bien ?
Nous sommes passés pour notre achat via Espaces Atypiques, et nous sommes revenus vers eux pour la revente, puisque notre bien, un loft refait par un architecte, était différent, presque hors-norme. Il a beaucoup de volumes, des espaces très ouverts, pour seulement deux chambres. Un espace à vivre avant tout donc, et destiné à des futurs propriétaires qui aspirent au même mode de vie que nous.
Notre nouveau bien, dont nous connaissions le propriétaire, était mis en vente par Espaces Atypiques, et se situe à 5 mns de l’ancien et lui ressemble beaucoup ! C’est le même genre de projet… on prend un peu les mêmes éléments et on recommence. On peut dire qu’Espaces Atypiques nous a mis sur la piste du bon type de bien et du bon quartier.
Découvrez ce bien sur le site Espaces Atypiques au bout de ce lien.